Communiqués de presse

Hier soir, à l’issue des élections européennes, Emmanuel Macron a annoncé la dissolution de l’Assemblée nationale.

Aujourd’hui, mes pensées vont à toutes les habitantes et tous les habitants de ma circonscription qui se réveillent avec un sentiment d’inquiétude face à la montée des idées de haine et de racisme portées par le Rassemblement National.

La première place de l’extrême droite au niveau national est un signal fort : le bloc de la minorité présidentielle, qui soutient Emmanuel Macron, est incapable de contrer efficacement le Rassemblement National. Pire encore, il le nourrit et sert de tremplin à ces idées.

Cependant, nous nous réjouissons des résultats obtenus dans notre circonscription.

Nous nous affirmons comme la première force politique sur la troisième circonscription de Seine-Saint-Denis, étant en tête sur les villes de Noisy-le-Grand et de Neuilly-sur-Marne. Ces résultats sont le fruit d’une campagne active menée depuis plusieurs années. Nous continuerons à porter haut les voix de nos habitants.

Nous repartons donc en campagne et nous nous sentons prêts.

J’appelle à la mobilisation générale en Seine-Saint-Denis pour construire une alternative à Macron et à l’extrême droite.

Je compte sur vous le 30 juin.

Alors que de très nombreux experts internationaux alertent sur le génocide en cours à Gaza où plus de 36 000 palestiniennes et palestiniens ont été tués par l’armée israélienne, la France vient d’annoncer qu’elle interdisait la présence des entreprises d’armement israéliennes lors du salon Eurosatory qui va se tenir à Paris dans quelques jours. 

Après plusieurs semaines de manifestations et d’interpellations publiques dénonçant cette participation, cette décision est une victoire pour toutes celles et ceux qui se sont mobilisés pour faire pression sur le gouvernement français. 

Il était inacceptable que des entreprises israéliennes qui se servent de longue date des territoires palestiniens comme d’un laboratoire à ciel ouvert pour développer de nouvelles technologies militaires et répressives, puissent venir exposer et vendre un matériel aujourd’hui utilisé pour commettre un génocide. 

Nous devons poursuivre la mobilisation et utiliser tous les moyens de pression à notre disposition pour que la France impose un embargo immédiat sur les armes à destination d’Israël.

Près d’un an après le meurtre de Nahel, abattu à bout portant par un policier suite à un refus d’obtempérer, la commission des lois s’est penchée sur les recommandations des députés Thomas Rudigoz (Renaissance) et Roger Vicot (PS) concernant « la hausse du nombre de refus d’obtempérer et les conditions d’usage des armes par les forces de l’ordre ».

Ce rapport biaisé minimise les conséquences dramatiques de l’utilisation des armes par les policiers et refuse de reconnaître l’évidence : la loi Cazeneuve est un permis de tuer, accordant aux policiers le droit de tirer sur nos concitoyens en dehors du cadre strict de la légitime défense, selon leur propre interprétation de la « dangerosité » d’un individu.

Le rapport omet de signaler qu’en 2017, année de son entrée en vigueur, le nombre de personnes tuées par des tirs de policiers a été multiplié par cinq. Il ne souligne pas que 80 % des refus d’obtempérer ne présentent aucun danger réel.

Sur les 23 recommandations formulées, aucune ne répond aux revendications des collectifs de familles victimes de violences policières, qui n’ont d’ailleurs pas été consultés lors de l’élaboration de ce rapport. Aucune mesure ne s’attaque au racisme structurel au sein de la police. 

Ces recommandations reflètent une vision sécuritaire inefficace et liberticide, visant à octroyer davantage de moyens aux policiers, tels que des caméras et la confiscation systématique des véhicules des personnes accusées.

L’impunité dont bénéficient les policiers ayant fait un usage injustifié de leur arme doit cesser. Il  faut supprimer l’IGPN et l’IGGN et abroger l’article 435-1 du code de la sécurité intérieure

Dans quelques semaines, notre pays accueillera plus de 10 millions de visiteurs dans le cadre des Jeux olympiques et paralympiques. 

Cet afflux massif de touristes va se traduire par une hausse de la fréquentation des transports en commun, qui va considérablement dégrader les conditions de travail des cheminots. Pour faire face à cette fréquentation exceptionnelle, la SNCF s’apprête à mettre en circulation 4500 trains supplémentaires et des milliers d’agents en renfort dans les gares,  avec comme conséquence de refuser la pose de congés à des milliers de cheminots. Depuis des mois, les organisations syndicales alertent la direction de la SNCF sur la nécessité de mettre en place des mesures financières compensatoires.

Les préavis de grève ont été déposés le 10 avril, soit il y a plus d’un mois, ce qui prouve que la direction avait la possibilité d’ouvrir des discussions. Face au silence et au mépris de la direction, les cheminots sont aujourd’hui massivement mobilisés pour faire entendre leurs revendications. Alors que les Jeux olympiques et paralympiques vont générer des milliards d’euros de bénéfices, la SNCF propose 50 euros brut par jour travaillé !  

La présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, incapable d’assurer au quotidien un service acceptable pour les usagers, a dénoncé une « grève indéfendable » et « indigne d’un grand service public ». Ce qui est indéfendable, c’est la hausse du pass navigo et la politique d’ouverture à la concurrence menée par Valérie Pécresse qui aura des conséquences dramatiques sur le quotidien des usagers comme des salariés.

Nous tenons ici à adresser tout notre soutien aux cheminots mobilisés pour faire entendre leurs revendications.

Alors que plusieurs États avancent vers la reconnaissance officielle de l’État de Palestine, la France persiste dans son inertie, plus de dix ans après un vote favorable de l’Assemblée nationale et du Sénat.

Ce matin, lors d’un vote au sein du bureau de l’Assemblée Nationale, les soutiens inconditionnels du massacre en cours à Gaza se sont opposés à une initiative transpartisane du Groupe d’études à vocation internationale (GEVI) France-Palestine, visant à le transformer en un groupe d’amitié à part entière, à l’instar de son homologue au Sénat depuis 1995.

Au moment où des dizaines de milliers de Palestiniens sont assassinés par une armée coloniale, et face au premier génocide filmé en direct du 21e siècle, celles et ceux qui se sont opposés à cette proposition font honte à la France.

Je demande formellement que le groupe d’amitié France-Israël soit réintitulé en groupe d’études à vocation internationale.

Il ne peut y avoir un groupe d’amitié avec Israël sans équivalent pour la Palestine.

Bruno Le Maire a récemment annoncé « convoquer » Jean Pierre-Farandou, PDG de la SNCF, pour que l’on lui explique l’accord sur l’aménagement des fins de carrière des cheminots, qu’il a jugé « insatisfaisant ». 

La mesure, qualifiée de « provocante » pour ceux qui « travaillent dur » par le Ministre de l’Économie, est une mesure légitime pour les cheminots dont la pénibilité du travail est avérée. Lors des discussions sur la réforme des retraites, le gouvernement avait lui-même renvoyé les salariés exerçant des métiers pénibles à des négociations de branche. C’est ce que les cheminots ont fait avec cet accord signé entre les 4 syndicats représentatifs, fait rare, et la direction de la SNCF.

Mr Le Ministre s’est fâché de n’avoir « pas été prévenu ». Cela est pourtant logique : Bercy n’est consulté que sur les mesures engageant la trajectoire financière de la SNCF. Or celle-ci coûtera 35 millions d’euros au groupe de transports, un coût 10 fois inférieur aux enveloppes des augmentations annuelles et d’autant plus anecdotique lorsque ramené aux 10 milliards d’euros que représente la masse salariale de l’entité publique. 

Bruno Le Maire est bien moins véhément quand le patron de Stellantis se verse plus de 36 millions d’euros de salaire alors même qu’il supprime des milliers d’emplois en France. 

Dans sa course à la libéralisation des services publics, le gouvernement Macron s’indigne que la SNCF, qu’il a lui-même mise dans le champ concurrentiel depuis 2018, pratique le dialogue social comme toutes les autres sociétés. On trouve d’ailleurs des accords similaires chez nombre d’entreprises privées : Michelin, Orange, Air France… Ce que Bruno Le Maire appelle un « dysfonctionnement », ce sont les salariés qui s’organisent et luttent pour défendre leurs droits. 

Cet accord est une avancée majeure pour les fins de carrière des cheminots aux métiers pénibles qui assurent une mission de service public essentielle aux usagers. Il reflète l’inacceptabilité de la mortifère réforme des retraites voulue par le gouvernement, qui ôte aux salariés leur droit au repos et à la vie en bonne santé.  

Le gouvernement doit respecter les termes de cet accord conclu dans le plus strict respect de la démocratie sociale.

Après quinze jours de siège, l’armée israélienne s’est retirée du quartier entourant l’hôpital Al Shifa, laissant derrière elle un paysage de désolation et d’horreur. Fosses communes, cimetière improvisé, corps gisants dans les rues, cadavres écrasés par des bulldozers, bâtiments entièrement détruits et calcinés … Le porte-parole du Croissant-Rouge palestinien, Raed al-Nims, a fait état de l’horreur vécue par le personnel médical, certains ayant été tués, torturés ou encore détenus.

Au même moment où la communauté internationale découvrait ce champs de ruines, elle apprenait l’assassinat de plusieurs humanitaires de l’ONG World Central Kitchen, tués pendant qu’ils tentaient de livrer de la nourriture dans la bande de Gaza. 

Nous assistons à des crimes de guerre d’une ampleur sans précédent depuis le 7 octobre.

Huit jours après la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un cessez-le-feu, Israël poursuit son opération meurtrière.

Face à l’horreur des crimes commis par l’armée d’occupation israélienne, la communauté internationale doit transformer ses mots en actes concrets. 

Le Conseil de Sécurité de l’ONU doit déployer des Casques bleus dans la bande de Gaza, afin de mettre un terme aux massacres de milliers de civils.

Alors que cette année, les péages des autoroutes ont augmenté de 4.7%, les sociétés concessionnaires vont instaurer une nouvelle hausse en février 2024 de 3%. Liée à l’inflation selon le ministre des transports Clément Beaune, qui se targue d’une augmentation limitée, ce dernier oublie de préciser les bénéfices faramineux réalisés par ces sociétés.

Comme le montre le dernier rapport de l’autorité de régulation des transports publié en janvier, une augmentation des bénéfices de 47% a eu lieu en 2021, atteignant 3.9 milliards d’euros, et quelques 3.3 milliards d’euros de dividendes versés.

Avec de tels résultats, rien ne peut légitimer une nouvelle hausse des péages. Les sociétés autoroutières accumulent des milliards sur le dos des usagers avec la complicité active du gouvernement qui brade nos biens communs au privé.

La privatisation n’apporte qu’une seule chose : la hausse des prix pour les usagers et la dégradation du service.

Nous devons retrouver la maîtrise pleine et entière de nos infrastructures qui répondent aux besoins essentiels de la population.

Je demande la renationalisation des sociétés concessionnaires d’autoroutes.

Ce matin, nous avons découvert les images hallucinantes provenant d’un centre de formation de policiers. Un formateur, agissant avec une violence inouïe, recouvre le visage d’une jeune recrue d’un tissu, le frappe au niveau du ventre et arrose le linge d’eau pour simuler une noyade.

Depuis de nombreuses années, nous tirons la sonnette d’alarme concernant les lacunes dans la formation policière. Expéditive et peu qualitative, la période de formation est pourtant cruciale pour un corps de métier où les agents seront amenés à exercer l’autorité publique et la force physique dans diverses situations.

Humiliation, violences physiques, simulacre de noyade : comment peut-on s’attendre à ce que les policiers soient aptes à faire respecter les règles de droit lorsque leur première expérience de leur futur métier se déroule dans de telles conditions ?

Les violences policières, le racisme et le sexisme gangrènent le métier de policier, sapant le lien de confiance essentiel entre la police et la population. Ces pratiques n’ont aucune place au sein d’une école de formation. Il est impératif de mettre fin à cette spirale de violence, et cela ne peut se faire que par une refonte totale de la doctrine au sein de la police !

Dimanche, la Première ministre Elisabeth Borne, invitée sur Radio J, qualifiait à juste titre le Rassemblement National « d’héritier de Pétain ».

Un rappel historique qui n’a semble-t-il pas plu au Président de la République Emmanuel Macron, celui-ci rappelant ce matin en conseil des ministres qu’il fallait éviter d’utiliser des « mots des années 1990 » et des « jugements moraux ».

Après avoir tenté de réhabiliter Pétain en lui rendant hommage en 2018, Emmanuel Macron vole une fois de plus au secours de l’extrême-droite.

Des propos d’une extrême gravité qui participent à la banalisation d’un parti politique fondé par des héritiers de Vichy, dont les statuts ont été déposés par le Waffen-SS Pierre Bousquet et qui compte dans son groupe parlementaire un député qui fut propriétaire d’une librairie spécialisée dans les ouvrages antisémites et négationnistes.

La présence de deux proches de Marine Le Pen, dont l’un travaille toujours en lien avec les députés européens du Rassemblement National, à la manifestation nazie du 6 mais 2023, démontre que l’extrême-droite parlementaire s’inscrit dans l’héritage de Pétain et du régime de Vichy.

Après l’attentat de l’extrême droite à Saint-Brévin, les propos du président de la République sont irresponsables et dangereux.

Samedi 6 mai, plusieurs centaines de militants néonazis ont défilé dans le 6e arrondissement de Paris à l’appel du Comité du 9 mai, en mémoire d’un militant de l’Œuvre française, mort en 1994.

Le C9M est une organisation néo-nazie et suprémaciste qui utilise dans sa propagande la croix celtique, mais aussi des runes. Des symboles largement utilisés par des nazis et recyclés par l’extrême droite depuis 1945.

En 2020, le C9M a publié une affiche représentant le buste du militant décédé en 1994 sur fond de soleil noir, autre symbole nazi couramment utilisé en France par ces groupes suprémacistes.

En 2022, le C9M a dans la plus grande indifférence collé des affiches reproduisant un bas-relief réalisé en 1940 par le sculpteur allemand Arno Breker, artiste de référence en Allemagne nazie et apprécié par Adolf Hitler.

Contrairement aux propos du préfet de Paris Laurent Nunez, cette manifestation de néonazis représentait un « trouble à l’ordre public ». Elle n’aurait jamais dû être autorisée.

En laissant défiler des centaines de personnes avec des cagoules floquées aux insignes du GUD, des tatouages néonazis (un soleil noir sur un coude) et des tee-shirts suprémacistes («The White Race»), Laurent Nunez fait preuve de complaisance envers l’extrême-droite.

Rappelons nous qu’il y a moins d’un an, Loïk Le Priol, ancien militant du GUD, assassinait le joueur de rugby argentin Federico Martin Aramburu en plein Paris de plusieurs balles alors même qu’il était sous contrôle judiciaire et interdit de séjour à Paris.

Alors que les violences d’extrême droite ne cessent de se multiplier, autoriser cette manifestation est une faute politique gravissime.

Plutôt que de réprimer le mouvement social, le Préfet de Paris ferait mieux de mener une politique offensive de lutte contre les groupuscules d’extrême droite.

Je demande la dissolution immédiate du C9M.

Lundi 11, le nouveau ministre des Transports Clément Beaune a appelé les sociétés privées à « faire des efforts sur les prix », alors que débutent les vacances estivales, dans un contexte de crise économique qui touche durement le porte-monnaie des français. Depuis quand les “gestes” demandés par l’Etat aux multinationales sont-ils suivis d’effet ?


Depuis leur privatisation en 2006, les autoroutes ont versé 24 milliards d’euros de dividendes à leurs actionnaires et on estime qu’entre 2022 et 2036, ceux-ci devraient atteindre 40 milliards ! Pendant ce temps, les prix n’ont cessé d’augmenter pour les usagers et le service rendu ne cesse de se dégrader !
Notre groupe alerte depuis des années sur les conséquences de la concession des autoroutes au secteur privé : le groupe de la France insoumise avait d’ailleurs déposé une proposition de loi en 2021 visant à nationaliser les sociétés concessionnaires d’autoroutes. Mettons un terme à ce racket des usagers perpétré par des entreprises qui font pleuvoir en pleine crise des milliards de dividendes aux actionnaires, au détriment de l’intérêt général.


Comme nous le proposons dans notre loi pouvoir d’achat, il faut mettre en place une taxe exceptionnelle de 25% sur les profits des sociétés d’autoroutes et engager un procès de renationalisation pour que l’État retrouve la maitrise pleine et entière de ses propres infrastructures de transport national.

[10 Mai 2022] J’ai l’honneur d’avoir été désigné candidat de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale pour la 3e circonscription de Seine-Saint-Denis, aux côtés de Mme Nadia Missaoui.

Dans ce département où les habitant·es n’ont eu de cesse d’être insulté·es et montré·es du doigt par l’extrême droite, un immense espoir s’est levé lors du premier tour de l’élection présidentielle.

En effet, dans la 3e  circonscription, qui comprend les villes de Noisy-le-Grand, Neuilly-sur-Marne, Neuilly-Plaisance et Gournay-sur-Marne, 19204 habitants se sont rendus aux urnes pour voter Jean-Luc Mélenchon le 10 avril dernier.

Cette mobilisation a permis aux propositions de l’Union populaire d’arriver largement en tête au premier tour, avec 35% des suffrages.

Je suis heureux que nous puissions désormais aborder l’élection législative unis avec le Parti Communiste Français, le Parti Socialiste et le pôle écologiste sur une base programmatique commune.

Je souhaite que la campagne qui s’ouvre permette l’implication de toutes les forces de la NUPES mais également des citoyennes et des citoyens, qui ont montré leur volonté d’un changement profond de la politique du pays, et leur aspiration à en finir avec la politique de casse sociale et de répression d’Emmanuel Macron et son gouvernement.

Je vous convie au lancement de ma campagne qui aura lieu :

 Mercredi 11 mai à  19h

Bar Le Grand Paris – 13 boulevard du Général Gallieni – Neuilly Plaisance

 En présence d’Adrien Quatennens, député du Nord et coordinateur de la France insoumise, Aurélie Trouvé, présidente du Parlement de l’Union Populaire, de Stéphane Peu, député de Seine-Saint-Denis, et des responsables locaux des composantes de la NUPES.

Pour l’occasion un concert du groupe Insousols est organisé, avec Adrien Quatennens à la batterie.

[09 Mai 2022] Six enseignants de l’école Pasteur de Saint-Denis ont été mutés contre leur gré suite à des allégations portées par un média d’extrême droite. Le tribunal administratif de Montreuil examine aujourd’hui leur requête en liberté-référé *pour l’annulation de ces mutations. Une rassemblement est organisé devant le tribunal à 13h30, en présence de leur avocat Arié Alimi, de parents d’élèves et de syndicats.


Je tiens à leur apporter mon plein soutien.


Nous ne pouvons banaliser les tentatives de muselage des personnels de l’Education nationale qui se multiplient aujourd’hui. Elles témoignent de l’ampleur de la crise sociale et démocratique que traverse notre pays. La liberté d’expression et d’enseignement constituent les bases de notre République. Elles sont inaliénables. Solidarité aux enseignants dionysiens !