Aujourd’hui, nous commémorions la mémoire des milliers d’algériens pourchassés, fusillés, noyés dans la Seine, lors de la répression aveugle du 17 octobre 1961 opérée par la police aux ordres de Papon.
Leur crime : avoir manifesté pacifiquement contre un couvre feu appliqué aux seuls algériens.
L’État français doit regarder en responsabilité son passé et reconnaitre ce massacre pour ce qu’il est : un crime d’État colonial.
Plus qu’un devoir de mémoire, une nécessité politique du présent.